Produit expérimenté et efficace contre les plaques gênantes et les squames du psoriasis

ISO UREA MD BAUME PSORIASIS 100ML
En cas de psoriasis, Iso-Urea MD est le soin parfait pour vous. Riche en actifs naturels aux vertus hydratantes et reconstructrices, ce dispositif médical vous apportera le plus grand bien dès la première application. Finis les démangeaisons, les plaques gênantes et les squames. 
La qualité de votre peau s’améliorera au fur et mesure de son utilisation.
Contenance : 100 m
Illustration ISO UREA MD BAUME PSORIASIS 100ML


Description

Vous aussi, vous êtes victimes d’une affection cutanée appelée psoriasis ? Retrouvez le sourire avec ce Baume Iso-Urea Md. Vous avez à portée de main, la formule pour résoudre vos problèmes dermatologiques. En effet, grâce à un complexe kératolytique, ce soin réduira petit à petit la desquamation excessive de votre peau. 
En régulant minutieusement l’hydratation du derme, ce baume vous protège contre la réapparition de cette réaction cutanée. La barrière de défense naturelle de votre peau en sera également renforcée grâce à l’actif anti-marques exclusif Procerad®. 
Bien que ce trouble cutané engendre des démangeaisons intenses, vous serez épaté par la puissante propriété apaisante de l’Eau Thermale contenue dans ce produit de LA ROCHE-POSAY. Dès son application, vous serez immédiatement réconforté, sans avoir à vous gratter constamment.

Conseils d'utilisation

Ce Baume Iso-Urea Md des laboratoires LA ROCHE-POSAY convient particulièrement aux personnes souffrant de psoriasis. Pour un traitement de choc, son application doit se faire tous les jours, à raison de 2 applications. 
Suite à une nette amélioration de la surface cutanée touchée, réduisez son utilisation à une fois dans la journée. 
Il est conseillé de l’appliquer sur une peau propre et bien nettoyée. Accompagnez d’un petit massage pour renforcer son efficacité.

Composition

  • AQUA / WATER
  • UREA
  • BUTYROSPERMUM PARKII BUTTER / SHEA BUTTER
  • GLYCERIN
  • DIMETHICONE
  • PROPYLENE GLYCOL
  • CETEARYL ALCOHOL
  • PARAFFINUM LIQUIDUM / MINERAL OIL
  • PENTYLENE GLYCOL
  • GLYCINE
  • PEG-100 STEARATE
  • GLYCERYL STEARATE


Gel efficace contre le psoriasis

DERMALEX REPAIR PSORIASIS CAPILLAIRE


Illustration Dermalex Repair Psoriasis Capillaire - 75g

Description

Le Gel Dermalex Psoriasis réduit les symptômes typiques du psoriasis en normalisant la production des cellules cutanées et leur temps de maturation.

Il accélère la guérison de la barrière cutanée du cuir chevelu en activant le mécanisme naturel de réparation cutanée et fortifie la barrière grâce à la création d'un bouclier protecteur et la prévention de la perte d'eau de l'intérieur vers l'extérieur de la peau.

Convient aussi pour d'autres zones sensibles du corps tels que les plis de la peau, les parties génitales externes, les oreilles et le nez.

Conseils d'utilisation

Appliquer une petite quantité de Gel capillaire Dermalex Psoriasis sur le cuir chevelu en repoussant vos cheveux autant que possible. Etaler le gel sur les lésions du psoriaisis du bout des doigts à l'aide de mouvements circulaires.
Laisser sécher et ne pas rincer. Appliquer 2 fois par jour et ré-appliquer après chaque shampoing. Eviter les shampoings agressifs.
Le gel peut être utilisé aussi souvent que nécessaire et sur le long terme.
Convient à partir de 6 ans.

Composition

Purified Water, Alkaline earth minerals complex optimized for scalp psoriasis treatment, Modified alumni silicates, Glycerol, Cellulose gum, Octyldodecanol, Phytoshingosine, Dehydroacetic Acid, Benzoyl Alcohol.

Enfin, s’en débarrasser définitivement du Psoriasis

Le psoriasis se présente sous la forme de plaques rouges couvertes de peaux mortes (squames), qui ne démangent pas, ne font pas mal, apparaissent par poussées principalement sur le cuir chevelu et les oreilles, les coudes, les ongles, les genoux. Mais il peut exister certaines formes dites inversées lorsqu’elles touchent les plis de flexion, l’aine ou le pli interfessier notamment. D’autres formes sont dites en goutte parce que les lésions sont généralisées.
Seule une minorité de malades atteints du psoriasis sont touchés pas ses formes les plus sévères, mais il semble que l’incidence de la maladie dans la population soit largement minorée car les trois quarts des personnes atteintes l’ignorent totalement, ou négligent de se traiter puisqu’elles ne souffrent pas et que les plaques rouges qui résultent de la maladie sont peu étendues. On peut ainsi être atteint du psoriasis toute sa vie sans jamais ressentir le besoin de se soigner. Mais c’est ignorer que le psoriasis peut à tout moment évoluer vers une maladie plus invalidante et difficile à supporter.

La première poussée est, en général, révélée par un événement extérieur : le plus souvent il s’agit d’un stress affectif (rupture, deuil), mais il peut aussi s’agir d’une prise médicamenteuse(lithium, bêtabloquants, arrêt d’un traitement oral de cortisone) ou encore d’une chute immunitaire due à une maladie infectieuse.
Lorsque la première crise est survenue, s’engage alors un long chemin de croix pour les patients car les rechutes sont fréquentes jusqu’à devenir chroniques avec des poussées déclenchées à chaque accès de stress, ou à chaque épisode infectieux.

Des traitements inefficaces
Les traitements généraux classiques ne sont que palliatifs et consistent à diminuer les symptômes les plus gênants de la maladie, sans jamais la soigner. Ils vont des pommades à base d’acide salicylique aux dermo-corticoïdes en passant par les crèmes à base de vitamine D synthétique ou la photothérapie. Pour les formes les plus sévères, on prescrit des rétinoïdes (vitamine A synthétique) ou des agents cytotoxiques. Depuis peu, les médecins ne jurent plus que par les « biothérapies », une récente famille de médicaments qui sont des substances similaires à des protéines produites par l’organisme. Mais ces médicaments ne sont pas anodins : il existe un risque d’infection ou de problèmes cardiaques. Il est recommandé aussi de les éviter si on craint une tumeur maligne latente, et leur coût est très élevé.
Le rôle-clé de l’alimentation
Un régime alimentaire approprié permet parfois de faire reculer le psoriasis sans qu’il soit besoin de recourir à un autre traitement. Les consignes de base sont les suivantes :
  • supprimer le lait et les produits laitiers,
  • supprimer les gâteaux secs, les sucreries, le chocolat et tous les plats préparés contenant du sucre raffiné,
  • éviter les charcuteries et les viandes grasses,
  • supprimer l’alcool,
  • pratiquer un jeûne de 36 heures (du dîner au petit-déjeuner) plusieurs fois par mois,
  • les anthroposophes recommandent de faire une monodiète (aliment unique) de pommes cuites issues de l’agriculture biologique (sans sucre et sans beurre) pendant sept jours.
Psoriasis et stress: il y a un lien biologique
Malgré le lien quasi-certain entre l’état du psychisme et le déclenchement du psoriasis, aucun des médicaments synthétiques proposés n’explore cette voie. Depuis peu, pourtant, plusieurs travaux scientifiques permettent d’expliquer comment un état de stress peut non seulement déclencher le psoriasis, mais aussi l’entretenir.
Récemment des auteurs ont en effet découvert que les globules rouges des sujets psoriasiques ont des membranes pauvres en phospholipides. Or ces phospholipides spéciaux servent à régénérer les médiateurs nerveux. L’un de ces phospholipides se transforme en acétylcholine. Si le corps en manque – en particulier dans les périodes de stress car cette acétylcholine apaise le système nerveux – il est obligé de piocher dans ses cellules ce qui provoque une inflammation et la perte d’adhésion des cellules. Au niveau de la peau, cela donne les plaques de psoriasis, parfois accompagnées d’un rhumatisme psoriasique très douloureux.

Une percée thérapeutique pour guérir le psoriasis


“Le psoriasis est transmis par des cytokines pro-inflammatoires », explique le professeur Amir Aharoni . Ce dernier précise “l’une des cytokines qui joue un rôle principal dans la progression du psoriasis et d’autres maladies auto-immunes, appartient à la famille des interleukines (IL-), et plus précisément IL-17. Notre objectif était donc d’inhiber l’action de IL-17 et ainsi de ralentir la progression de la maladie”.
Dans la revue Chemistry and Biology un articleintitulé “Evolution dirigée d’un récepteur humain soluble IL-17A pour l’inhibition de la formation de plaques de psoriasis sur un modèle de souris”, décrit la méthode développée pour inhiber les signaux pro-inflammatoires IL-17 par le Dr. Marianna Zaretsky et le professeur Amir Aharoni de l’Université Ben-Gurion du Néguev en collaboration avec le Dr. Liora Sklair-Tavron, le Dr. Joel Kaye et Revital Etzyoni de l’entreprise Teva.
L’évolution dirigée est un processus itératif d’optimisation Darwinienne utilisée dans l’ingénierie des protéines de sorte que les plus aptes variantes sont sélectionnées à partir d’une collection de mutations aléatoires (les variantes améliorées sont identifiées et isolées par dépistage ou sélection). Cette approche est particulièrement avantageuse dans les cas où aucune connaissance préalable du mécanisme et de la structure d’une protéine n’est disponible.
L’équipe de chercheurs a réussi à produire, en milieu soluble, un récepteur IL-17R ayant une grande affinité pour la protéine naturelle IL-17.“En utilisant l’évolution dirigée pour améliorer les propriétés du récepteur IL -17R, nous avons créé des mutants qui pourraient se révéler être un traitement efficace pour les patients atteints de psoriasis sévère et qui ne répondent pas aux traitements existants”, précise le professeur Amir Aharoni ( voir photo ci-dessus ).
En deux ans et demi de recherches, l’équipe a montré que l’injection du récepteur conçu IL-17R dans des modèles de souris est très efficace dans la réduction des signaux inflammatoires IL- 17 conduisant ainsi à éliminer un psoriasis aiguë. Aucun essai humain n’a encore eu lieu. Le professeur Amir Aharoni précise, “désormais, nous cherchons un partenaire afin d’utiliser une approche similaire pour cibler d’autres maladies”.

Une avancée thérapeutique pour d’autres maladies auto-immunes

“La méthode d’évolution dirigée peut être appliquée à d’autres récepteurs impliqués dans les maladies auto-immunes et le cancer, je crois que nous commençons à peine à démêler le potentiel de cette approche”, a ajouté le professeur Amir Aharoni.
Cette fois-ci, sans le financement de Teva, le laboratoire a réussi avec succès à inhiber d’autres cytokines qui jouent un rôle majeur dans des maladies auto-immunes chroniques intestinales. tel que la maladie de Crohn. “Nous sommes donc à la recherche d’autres grands investisseurs pharmaceutiques pour promouvoir le projet, car maintenant cela nécessite un investissement substantiel”, affirme le professeur Amir Aharoni. “Certaines caractéristiques du système nous sont propres. Aucun de nos concurrents ne fait exactement la même chose que nous”, affirme le professeur Amir Aharoni.
En 2009, le marché mondial des traitements du psoriasis a été évalué à 3,5 milliards de dollars, avec des traitements systémiques (dont l’approche de l’Université Ben-Gourion du Néguev) estimés à 2,6 milliards de dollars. À l’avenir, L’IL-17R pourra servir de traitement alternatif ou complémentaire à d’autres traitements biologiques. En conséquence, l’intérêt pour ce médicament unique contre le psoriasis est considérable. Cependant, le professeur Amir Aharoni souligne qu’actuellement, le système se situe à un stade expérimental. “Nous sommes fiers d’avoir élaboré ce médicament expérimental qui peut être testé chez la souris et chez l’homme, mais les phases d’essais cliniques seront longues”, prévient le professeur Amir Aharoni.

Un traitement efficace contre le psoriasis bientôt disponible ?

Selon les résultats d'une étude menée par des chercheurs de l'université de Manchester sur 2500 patients atteints de psoriasis en plaques un traitement expérimental aurait fait ses preuves pour lutter contre la maladie.

Ce traitement, sous forme de médicaments, appelé l'ixekizumab, pourrait réduire les plaques et les autres symptômes du psoriasis.
En effet, les résultats de cette étude montrent qu’au bout de trois mois 90% des patients ont déclaré que leurs symptômes avaient diminué, et les plaques avaient disparu dans 40% des cas.
Pour les chercheurs, ce sont des résultats encourageants et si ce traitement arrive un jour sur le marché, il pourrait changer la vie de plusieurs millions de Français…
En effet, on estime que 2,5 millions de personnes en France seraient touchées par la maladie qui peut avoir des conséquences physiques et psychologiques dramatiques pour la personne qui en souffre.

Espoir d'un nouveau traitement contre le psoriasis, injections biologiques

Il existe quatre catégories de traitements:
1. Traitements topiques – appliqué directement sur la peau sous forme de crèmes, lotions, onguents, mousses et gels. Il s'agit notamment d'analogues de la vitamine D, préparations de goudron de houille, stéroïdes topiques, DITHRANOL et analogues de la vitamine A. Certains sont disponibles en vente libre, tandis que d'autres nécessitent une ordonnance d'un médecin. Les traitements topiques sont efficaces pour les cas bénins de psoriasis.
2. Photothérapie – traitement par la lumière ultraviolette (UVB, RAISIN, et laser). Photothérapie nécessite d'assister à la photothérapie Centre 2 o 3 deux fois par semaine pendant plusieurs semaines si vous recevez une radiothérapie UV.
3. Médicaments systémiques elles sont réservées pour les personnes atteintes de psoriasis modéré à sévère et pour ceux qui n'ont pas répondu aux autres traitements. Médicaments les plus couramment utilisés sont le méthotrexate, Ce qui ralentit la vitesse à laquelle les cellules de la peau sont divisés en psoriasis; Cyclosporine, pour inhiber le système immunitaire; Acitretin, Ce qui ralentit la vitesse à laquelle les cellules de la peau se divisent dans le psoriasis, et inflammation calme et Hydroxycarbamide qui ralentit la vitesse des cellules cutanées qui divisent le psoriasis. Ces médicaments peuvent avoir des effets secondaires graves et les patients doivent être étroitement surveillés lors de l'utilisation de ces.


Ces dernières années, Il y a eu un développement d'une nouvelle vague de traitements avec des médicaments appelés biologiques. Ces médicaments sont ce que vous faites pourriez tout le prétraitement – s'adressant à la racine du problème en agissant sur le système immunitaire.
Chercheurs et dermatologues affirment que ce nouveau traitement a rendu la vie beaucoup plus tolérable pour les patients.
Les processus naturels de base biologique, fabriqué à partir des protéines humaines ou animales. Ils sont très similaires aux produits chimiques déjà présents dans le système humain. Travaux biologiques en bloquant l'action de certaines cellules immunitaires (Lymphocytes T) ou substances chimiques libérées par les, qui jouent un rôle dans la cause du psoriasis. La consommation de ces drogues a montré qu'ils ont beaucoup moins d'effets secondaires que les traditionnelle thérapie systémique.

Caractéristiques des produits biologiques

Ils sont des injections, ils ont reçu par un médecin ou par vous-même à la maison, En fonction du médicament ou par perfusion quelque part entre deux fois par semaine à une fois toutes les deux semaines.
  • Ils sont efficaces pour le traitement du psoriasis et / ou de nombreux patients atteints de rhumatisme psoriasique, mais pas pour tout le monde
  • Effets secondaires à court terme sont bénins
  • Effets secondaires à long terme ne sont pas encore connues, sont l'objet d'une enquête
  • Ils sont chers (ils coûtent environ $ 10,000 / 8,000 € / par année)
Des évaluations périodiques sont nécessaires pour les patients subissant un traitement biologique pour vérifier les éventuelles infections ou de cancers potentiels

Qui peut utiliser des produits biologiques?

Biologiques sont un bon choix pour ceux qui n'ont pas répondu aux autres traitements conventionnels, qui ont subi des effets secondaires nocifs des autres traitements ou qu'ils ne prennent d'autres médicaments à cause de leurs problèmes de santé.

Quels sont les effets secondaires?

Pour tous les produits biologiques, les effets secondaires courants comprennent les infections respiratoires, symptômes semblables à la grippe et les réactions au site d'injection (un gonflement, des démangeaisons ou une éruption cutanée). Ces effets secondaires sont généralement bénins et tolérable, pour les patients puissent continuer leur prise.
Personnes ayant des infections actives ne seraient pas admissibles pour certains produits biologiques. Si une infection importante survient pendant le traitement, le patient doit cesser de prendre des produits biologiques. Dans certains cas, nécessite le dépistage de la tuberculose (TB) ou d'autres infections avant de subir un traitement avec certains produits biologiques.

Comment pouvez-vous obtenir un médicament biologique?

Biologiques sont disponibles uniquement sur ordonnance. Certains peuvent se produire que dans un cabinet médical, tandis que d'autres peuvent être auto-administrés.

Alors qu'en est-il du biologique?

Depuis les biologiques sont très complexes et coûteux de faire (Il faut des décennies de recherche et développement jusqu'à ce qu'ils sont approuvés pour utilisation par les patients), Ils ont aussi un coût élevé. Tu as besoin de 10.000 dollars ou plus par an, Selon la dose et la fréquence de traitement.
Biologiques sont, Cependant, plus abordable que la thérapie ultraviolette, autre traitement principal pour les cas de moyennes et sévères de psoriasis.
Certaines compagnies d'assurance couvrira complètement pour un produit biologique, autres partiellement, Alors que certains patients devront payer le coût total de leurs poches.
Les fabricants de produits biologiques ont des programmes spéciaux pour aider les patients avec des problèmes d'assurance ou peuvent même offrir des prix réduits pour les personnes qui répondent à certaines recettes et besoins financiers. Qui est essentiel est la raison pour laquelle les patients obtiennent tous les renseignements nécessaires aux bureaux de leurs médecins pour vérifier ce que votre position .;
Aujourd'hui, cinq biologiques sont approuvés par la Food and Drug Administration pour le traitement du psoriasis, et trois des cinq ont été approuvés pour l'arthrite psoriasique.
Ils sont Amevive, Enbrel, HUMIRA, REMICADE, et le psoriasis avec Enbrel Raptiva, REMICADE et Humira est également approuvé pour le traitement du rhumatisme psoriasique.
AMEVIVE – prescrit pour les adultes avec modérée de psoriasis en plaques sévère qui sont candidats à la photothérapie ou traitements systémiques. Les patients ayant des antécédents d'infection récurrente ou tumeur maligne ne devraient pas subir ce traitement.
Enbrel – prescrit pour les adultes atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère, Ils sont également candidats pour la photothérapie ou des traitements systémiques; pour les patients souffrant d'arthrite psoriasique actif, Puisqu'il aide à stopper ou ralentir les dommages aux articulations causées par la maladie; pour les enfants de 4 pour l'arthrite rhumatoïde juvénile, mais pas pour le traitement du psoriasis ou de l'arthrite psoriasique chez les enfants. Personnes ayant des infections actives graves ou des antécédents d'infections récurrentes, insuffisance cardiaque, sclérose en plaques et autres maladies neurologiques démyélinisantes ne subissent pas ce traitement.
RAPTIVA – prescrit pour les adultes avec modérée de psoriasis en plaques sévère qui sont candidats à la photothérapie ou traitements systémiques. Il n'est pas nécessaire que les patients tentent ou réaliser d'autres drogues avant d'être mis sur Raptiva. Les personnes qui prennent des coups ou souffrant d'une infection grave active ne doivent pas commencer Raptiva .;
REMICADE – prescrit pour les personnes atteintes de psoriasis sévère et l'arthrite psoriasique actif. Personnes ayant des infections actives graves ou des antécédents d'infections récurrentes, insuffisance cardiaque, sclérose en plaques et autres maladies neurologiques démyélinisantes ne subissent pas ce traitement.
HUMIRA – prescrit aux personnes atteints de modérée à grave psoriasis et arthrite psoriasique actif. Personnes ayant des infections actives graves ou des antécédents d'infections récurrentes, insuffisance cardiaque, sclérose en plaques et autres maladies neurologiques démyélinisantes ne subissent pas ce traitement.
La prudence est recommandée contre tous les médicaments pour les personnes âgées en raison de leur risque d'infections déjà présentes.
On ne connaît pas l'impact de ces substances sur les foetus des femmes enceintes et allaitantes ou en développement. C'est pourquoi, médicaments seulement doivent être donnés aux femmes enceintes ou allaitantes si il y a un besoin clair médical, et si cette décision est prise par un médecin et un patient ensemble.

Concernant le traitement du Psoriasis

Patients psoriasiques doivent comprendre est que le traitement de cette affection exige patience et engagement. Il est essentiel pour trouver un équilibre entre la quantité de votre psoriasis vous dérangent les symptômes et les difficultés imposées par le traitement de ces. Lorsqu'un traitement ne fonctionne ne pas pour vous, d'autres peuvent fonctionner assez bien et ont moins d'effets secondaires.
N'accepte pas n'importe quel traitement à votre médecin suggère à moins que vous pouvez réellement s'y tenir.
Par exemple, ne correspond pas à des séances de luminothérapie trois fois par semaine si vous savez que vous ne pouvez pas faire chacun d'eux, ou pour l'utilisation du goudron dans les cheveux tous les soirs si vous ne supportez pas la pagaille.
Le plus frustrant fait de traitement du psoriasis, c'est qu'une fois le traitement efficace ne peut pas être toujours efficace. C'est très décourageant et renoncer à beaucoup de personnes malades après avoir eu une autre flambée.
Il est important de continuer à essayer, Puisqu'il y a autres traitements et combinaisons de traitements qui peuvent être utilisés. Il est crucial que vous avez appris sur chacun d'eux et ils ont discuté de vos options avec votre médecin.

Remèdes révolutionnaires pour le psoriasis

Mais peut-être pas pour toujours… «Nous disposons depuis les années 2000 de traitements révolutionnaires: des médicaments biologiques créés à partir d’anticorps capables de neutraliser les interleukines à l’origine de l’inflammation», reprend le Dr Conrad. Ce traitement, principalement réservé aux cas sévères de psoriasis en plaques, a vu une nouvelle génération arriver en avril dernier. Il s’agit d’injections capables d’éteindre l’interleukine 17, sans doute l’un des agents inflammatoires les plus féroces. «Les premiers résultats sont spectaculaires, tant dans l’atténuation des symptômes qu’au niveau de la vitesse d’action», se réjouit le spécialiste.
A noter que dans la majorité des cas – ceux dont les lésions touchent moins de 10% de la surface du corps – le traitement classique est l’application de pommades concentrées en corticoïdes et en dérivés de vitamine D, doublées de crème réhydratante. Des séances de photothérapie peuvent compléter ce traitement.
Reste que tous les psoriasis, les formes rares en particulier, n’ont pas livré leurs secrets, ni trouvé leur traitement. «La génétique a encore plusieurs défis à relever, confirme le Dr Conrad. L’objectif ultime est de pouvoir un jour repérer dans le sang les marqueurs génétiques propres à chaque patient pour pouvoir lui prodiguer un traitement personnalisé, donc parfaitement adapté.»

Origine génétique du psoriasis

Un état d’esprit qu’a constaté le Dr Curdin Conrad, médecin adjoint au service de dermatologie et responsable du Centre du Psoriasis au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), lors de ses consultations: «Quand un patient atteint de psoriasis arrive, c’est parfois cinq à dix ans après le dernier contrôle médical. Meurtri par le regard des autres, peu informé sur les traitements existants, il a basculé dans le défaitisme.»
Et pourtant, consulter est crucial. «Le psoriasis n’est pas qu’un problème cosmétique! alerte le Pr Wolf-Henning Boehncke, médecin-chef du service de dermatologie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Non seulement les lésions de la peau peuvent bénéficier de traitements efficaces, mais il y a également des complications fréquentes, inhérentes à la maladie. Parmi elles: un risque accru de troubles cardio-vasculaires, de diabète et, dans 20 à 25% des cas, l’apparition d’arthrite psoriasique, potentiellement dévastatrice pour les articulations. Ces conséquences sont indépendantes de l’intensité des plaques observées sur la peau.» Un diagnostic précis et un suivi régulier, y compris par un rhumatologue si nécessaire, sont donc essentiels pour adapter au mieux le traitement, et prévenir l’apparition de telles complications.
D’origine génétique, les causes de cette maladie restent mystérieuses (voir infographie). Qu’il s’agisse du psoriasis «en plaques chroniques» (80% des cas), «pustuleux palmoplantaire» (pustules présentes sur les mains et les pieds), «en gouttes» (le plus fréquent chez les enfants et les adolescents), ou encore «érythrodermique» (cette forme rare mais violente peut nécessiter une hospitalisation), le mécanisme en jeu est celui d’une maladie auto-inflammatoire. En effet, le psoriasis provient, dans la plupart des cas, d’un «dialogue perturbé» entre des cellules de défense de l’organisme – macrophages et lymphocytes notamment – qui, pensant à tort devoir agir contre un intrus, déclenchent une attaque contre les cellules pourtant saines de la peau, les kératinocytes. L’assaut s’opère par le biais d’agents de terrain, appelés interleukines. C’est ce qui cause l’inflammation ainsi que les démangeaisons. Des plaques rouges apparaissent sur la peau qui, en réaction, décuple la vitesse de renouvellement de ses cellules. Ces cellules en surnombre finissent par mourir. Et c’est l’accumulation de cellules mortes qui génère les taches blanches que l’on observe sur la peau des malades. Le grand problème du psoriasis est que ce cercle vicieux inflammatoire ne s’arrête pas de lui-même. En période de «crise» comme dans les semaines d’accalmie, l’inflammation demeure. En cela, la maladie est dite incurable

Les signes et l'évolution du PSORIASIS

Les signes :
Les lésions psoriasiques sont souvent caractéristiques : tâches cutanées bien limitées en relief, constituées d’une peau inflammatoire rouge vif, surmontée d’une épaisse couche de squames blanches et sèches qui ont tendance à s’effriter.        
Des démangeaisons sont présentes dans 30 % des cas principalement au niveau des lésions de la tête. Le psoriasis est caractérisé par un renouvellement de la peau (épiderme) plus rapide que la normale en particulier les cellules superficielles : les kératinocytes. .
L’étendue de ces lésions est très variable, allant de simples points à des plaques très étendues sur l’ensemble du corps. Ce sont les localisations des lésions qui sont caractéristiques de la maladie : les coudes, les genoux, la région occipitale de la tête et la région sacro-lombaire. Il atteint ainsi ce que l’on appelle les « sommets » contrairement au « psoriasis inversé » (ou psoriasis des plis) qui atteint le creux des coudes, les aisselles, les aines, le pli fessier, le pli sous les seins… et qui est une forme exceptionnelle.
Certaines localisations particulières sont plus difficiles à vivre :
  • Le cuir chevelu, induisant alors des plaques, avec, quelquefois une chute de cheveux à ces niveaux, mais surtout de nombreuses squames épaisses produisant des pellicules disgracieuses qui se déposent sur les vêtements. Le psoriasis du visage (au niveau des ailes du nez ou entre les sourcils) est plus rare et peut être confondu avec une simple dermite séborrhéique.
  • Les ongles dont les aspects peuvent être trompeurs : épaississement, irrégularité, stries, décollement de l’ongle. Les psoriasis des ongles peuvent être particulièrement handicapants.
  • Les paumes des mains et les plantes de pieds dont les lésions peuvent s’accompagner de fissures douloureuses et inesthétiques.
  • Les organes génitaux.
Il existe certaines formes qui ne se localisent qu’à un ongle ou qu’au cuir chevelu, rendant le diagnostic délicat.
La souffrance psychologique est toujours intense chez les personnes atteintes de psoriasis, à cause principalement de la peur du regard des autres, de leurs proches, de leur conjoint(e)… qui craignent la contagion, ou qui jugent la maladie comme étant due à un manque d’hygiène ou de soins… Cela induit chez la personne malade, des troubles relationnels (y compris sexuels), des perturbations sociales importantes et surtout une perte de la confiance en soi, conduisant à la dépression… 11% des personnes atteintes de psoriasis sont dépressives… alors qu’il n’y en a « que » 2,5 % dans la population générale.

L’évolution du psoriasis
Dans 30% des cas, le psoriasis débute avant l’âge de 20 ans. Ce sont les formes les plus sérieuses. Cependant, le psoriasis se manifeste habituellement chez l’adulte jeune.
Dans plus de 70 % des cas, le psoriasis est peu étendu, atteignant entre 3 et 10 % de la surface du corps. L’évolution est des plus capricieuses, allant de la régression plus ou moins complète entrecoupée de nouvelles poussées plus ou moins fréquentes, à des extensions importantes, voire généralisées, ou au contraire à des rémissions spontanées.
 temps
Les complications sont possibles :
  • Une extension généralisée sur tout le corps (y compris la tête et le visage) du psoriasis. C’est le « psoriasis érythrodermique ». Le risque de déshydratation et d’hyperuricémie est important pour la personne, aussi une hospitalisation s’impose.
  • Des fissures ou des crevasses douloureuses.
  • Des surinfections des lésions (« psoriasis pustuleux »).
  • Le rhumatisme psoriasique touche environ 5 % des psoriasis. Il peut quelquefois être inaugural, survenant avant l’apparition des lésions cutanées. Il s’agit d’un rhumatisme chronique qui est déformant et très invalidant. On lui décrit deux formes :
    • La forme périphérique, très proche de la polyarthrite rhumatoïde, qui atteint préférentiellement les articulations distales des doigts.
    • La forme axiale, atteignant la colonne vertébrale et qui est très proche de la pelvispondylite. Les personnes touchées sont souvent porteuses du HLA B27.
 À signaler que le psoriasis induit également un surrisque de maladies cardiovasculaires (infarctus, artérite, accident vasculaire cérébral), de syndrome métabolique et de stéatose hépatique.